05/09/2009

Arbres

C’est à contre-jour, soleil rasant

Que j’ai pris conscience de votre importance.

C’est à contre-jour, soleil rasant

Que j’ai pris conscience de votre prestance.

f

Derrière quiétude enracinée

S’offre la vie en tout genre :

L’animal, sans végétal,

Ne pourrait parcourir les champs.

f

Alors cessons de vous abattre,

Que la nature reprenne ses droits !

L’animal, sans végétal,

Sait très bien qu’il s’éteindra.

f

Je vous ai vus si importants

A contre-jour, soleil rasant.

Je ne vous vois plus, c’est inquiétant,

La vie n’est plus, en vous rasant.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

avant je voyais les arbres maintenant je les regarde.
Tigen