C’est à contre-jour, soleil rasant
Que j’ai pris conscience de votre importance.
C’est à contre-jour, soleil rasant
Que j’ai pris conscience de votre prestance.
f
Derrière quiétude enracinée
S’offre la vie en tout genre :
L’animal, sans végétal,
Ne pourrait parcourir les champs.
f
Alors cessons de vous abattre,
Que la nature reprenne ses droits !
L’animal, sans végétal,
Sait très bien qu’il s’éteindra.
f
Je vous ai vus si importants
A contre-jour, soleil rasant.
Je ne vous vois plus, c’est inquiétant,
La vie n’est plus, en vous rasant.
1 commentaire:
avant je voyais les arbres maintenant je les regarde.
Tigen
Enregistrer un commentaire