27/08/2009

L'espoir

L’espoir n’est-il pas à double tranchant ?

Lorsqu’il est vécu par le corps tout entier, il nous aide à conserver l’optimisme face aux situations délicates. Là, il faut parler de véritable espoir, pas du « j’y crois, mais sans plus » ; celui qui prend aux tripes, auquel on attache une importance capitale. Dès que cet espoir est anéanti, l’échec n’est-il pas d’autant plus grand ? Car une partie de nous-même accepte qu’on réussisse, et le désarroi naissant nous terrifie.

Alors, qu’a-t-on gagné à espérer si ce n’est qu’une rêverie qui finit par vous cogner la tête contre la réalité ?

Mais, tout de même, j’espère…

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