Quand tes bras se courbent sur le bois vernis,
Que tes hanches ondulent au son des ouïes,
Ta tête, fièrement, impose le tempo,
Crissement jouissif frémissant la peau.
Que tes hanches ondulent au son des ouïes,
Ta tête, fièrement, impose le tempo,
Crissement jouissif frémissant la peau.
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